À l'origine un membre de la province indonésienne et maintenant un membre du District de l'Inde, le Père Teja Anthara, SCJ a passé cette dernière année en sabbatique à Toronto, après dix ans en tant que directeur de formation en Inde.
Cette Communauté UKI rassemble environ 3,000 membres et regroupe 500 familles dont la Père Aegi Warshito, SCJ est le Chapelain.
Le frère Brian Tompkins, SCJ s’est joint à douze autres membres de la congrégation aux Philippines pour se préparer à la profession perpétuelle en tant que membre de la Congrégation des Prêtres du Sacré-Cœur.

Qui sont les SCJ?

« Le Cœur de Jésus déborde de TENDRESSE et de COMPASSION pour ceux qui souffrent. »

- écrit par le Père Léon Jean Dehon,
fondateur des Prêtres du Sacré-Cœur

 

 

 

Qui sont les SCJ?

La plupart de nous avons passé beaucoup de temps à réfléchir et méditer au sujet de l'amour de Dieu.

Nous sommes demeurés scjs parce que, à un moment de nos vies, la plupart d'entre nous avons reçu une faible lueur de cet amour. Il nous a aidés à continuer le chemin. vous ne pourriez pas survivre si vous n'avez pas cru en l'amour de Dieu.

 

Que veut dire être un SCJ?

Un SCJ est une personne dévouée et engagée dont l'ame et l'esprit sont souvent occupés à chercher comment rendre le monde meilleur pour chacun. Il vit en communauté et il prie avec d'autres dont il partage les aspirations. Dieu et la personne de Christ jouent un rôle majeur dans sa vie. Si vous lui demandez le but de sa vie, il dira probablement : «Je veux que le monde connaisse l'amour de Dieu.»

 

Que faisons-nous?

Le Père Dehon, notre fondateur, estimait important de comprendre les espoirs concrets, les déceptions et les aspirations des gens de son temps. Ce fut le point de départ de son ministère. Cela conduisit à un large éventail de ministères à travers lesquels les gens peuvent faire l’expérience de l’amour sans limite du Cœur de Dieu. Ses priorités furent le service des travailleurs et des pauvres, l’éducation, et l’annonce de l’évangile. Aujourd’hui nos activités varient en fonctions des opportunités et des cultures dans les lieux que nous servons. Mais quel que soit notre ministère notre première tâche est de refléter l’amour compatissant de notre Dieu.

Contrairement à plusieurs communautés, les Prêtres du sacré-Coeur n'ont pas été fondés en vue d'un apostolat particulier. Le Père Dehon, notre Fondateur, accordait beaucoup d'importance à la compréhension des espoirs, des attentes et des besoins des gens, considérant que tout apostolat doit partir de cette réalité. En conséquence, il n'a pas voulu limiter les possibilités de travail apostolique de sa communauté. Cependant, il a quand même voulu donner une certaine orientation à la mission de la communauté. Pour lui, l'adoration eucharistique fait partie de notre mission, comme un service rendu à l'Église, ainsi que le "ministère auprès des petits et des humbles, des travailleurs et des démunis". Il accordait aussi une grande importance à la formation des prêtres et des religieux, afin de bien les préparer à une vie de sainteté et de service. Enfin, l'activité missionnaire était pour lui un service apostolique privilégié.

Présents au Canada depuis 1910, nous nous sommes consacrés à de nombreux apostolats: auprès des immigrants, des sans-abri, des personnes vivant avec le SIDA, des personnes séparées ou divorcées; éducation aux niveaux secondaire et universitaire; formation aux ministères laïcs et ordonnés; pastorale scolaire, paroissiale ou dans les prisons; direction spirituelle et prédication de retraites.

Présents dans près de 40 pays, nous y avons aussi un grand nombre d'activités apostoliques. Vous pouvez en connaître davantage sur nos activités internationales en consultant la section "Où sommes-nous - SCJ International", et en visitant les sites web de nos nombreuses provinces.

Père Roger Phaneuf, SCJ


Durant la retraite préparatoire à la 1ère profession je fus frappé par ces mots du livre du prophète Michée au chapitre 6, verset 8 : « on t’a fait connaitre ce qui est bien, ce que le Seigneur attend de toi : rien d’autre que le respect et la justice, l’amour et la fidélité envers ton Dieu et ton prochain. »

- Père Roger Phaneuf, SCJ

 

 

Le Seigneur nous rejoint de bien des façons et à sa manière. Mon cheminement vers la vie religieuse et le sacerdoce n’a rien d’extraordinaire. Né à Montréal en 1938, j’ai grandi dans une famille modeste qui m’a inculqué les valeurs chrétiennes nourries par la prière et les sacrements.

Comme plusieurs de ma génération, j’ai été servant de messe. Trois fois semaine je servais la messe de 7h. Avant de quitter pour son travail papa me réveillait et je crois n’avoir jamais été en retard.

Les mouvements dont je faisais partie tels : la Légion de Marie, les Croisés, le Comité missionnaire furent pour moi comme un premier appel à faire plus. Ainsi en 1952, le vicaire de ma paroisse m’a demandé si j’avais pensé à la prêtrise, ma réponse fut instantanée. Ce prêtre, le P. Jacques van Hoek m’a fait connaitre les Prêtres du Sacré-Coeur et le fondateur, le P. Dehon.

En 1953, la Congrégation ouvrait un petit séminaire à Pointe-au-Chêne. J’y fus admis et y demeurai jusqu’en 1960. Je suis entré au noviciat aux États-Unis, la même année.

Durant la retraite préparatoire à la 1ère profession je fus frappé par ces mots du livre du prophète Michée au chapitre 6, verset 8 : « on t’a fait connaitre ce qui est bien, ce que le Seigneur attend de toi : rien d’autre que le respect et la justice, l’amour et la fidélité envers ton Dieu et ton prochain. » Je fis profession le 8 septembre 1961.

Quelques jours précédant mon ordination en 1967, je lisais ces mots écrits dans notre Règle de Vie : « appelés à servir l’Église dans la congrégation des Prêtres du Sacré-Coeur, notre réponse suppose une vie spirituelle…sous la conduite de l’Esprit…et une attention particulière pour ce qui correspond à l’expérience du P. Dehon. » Le 24 février de cette année, j’étais ordonné prêtre du Sacré-Coeur. Ce fut le début d’une aventure magnifique à l’intérieur de laquelle j’ai tenté d’être le plus fidèle possible à l’idéal que je m’étais fixé.

J’ai reçu le don de la foi, l’appel de la vocation et la Parole de Dieu comme guide. Maintenant retraité, j’ai plus souvent le temps de nourrir ma relation avec Celui qui m’a fait signe. Malgré mes imperfections, il a voulu avoir besoin de moi. Il n’oublie pas. Il a bonne mémoire. Il est fidèle. Oui Dieu tient parole.

Dites- m’en davantage!
Si vous vouliez savoir si c’est là que Dieu vous appelle, vous pouvez contacter notre bureau des vocations. Ceci peut devenir la première étape d’une démarche qui vous permettra d’être accepté comme candidat. »